Les pompiers

L’histoire des pompiers d’Erquy de 1897 à 2000

Christian Frémont à terminé ses recherches sur l’histoire des pompiers d’Erquy, un travail important qui donne un document de 25 pages consultable en cliquant sur le lien en bas de page.
Ce travail de Christian est protégé et ne peut être utilisé qu’avec son accord.

Tout commence en 1897…

… quand le conseil municipal décide de voter la somme de 100 francs pour l’achat d’une pompe à incendie (à bras)

Curieuses circonstances qui amenèrent le Docteur René DAYOT à la fondation de la compagnie des sapeurs-pompiers d’ERQUY :
En août de l’année 1904, une fête nocturne, qui se déroulait boulevard de la mer, face à la villa Mathilde aujourd’hui dénommée Penthièvre, battait son plein. Toute la population rhoeginéenne s’y était retrouvée dans la tradition d’un bal populaire qui clôturait joyeusement les festivités du jour, en l’occurrence, les célèbres courses de chevaux qui se disputaient annuellement sur la grande plage de Caroual .
Docteur DayotSoudain au plein milieu de la nuit alors que les flonflons du bal diffusaient des airs d’accordéon, le tocsin troubla l’allégresse générale. Le feu venait de se déclarer dans les écuries de la villa KER EOLE, propriété du Docteur René DAYOT (où réside actuellement son petit fils le Docteur Pierre Yves DAYOT ).
L’incendie ravagea les bâtiments, harnais, paille. On réussit à sauver la jument et la voiture du docteur (seul moyen de locomotion à l’époque).

1864-1947

Le 28 août nous trouvons la délibération suivante :
Le conseil : considérant qu’une pompe à incendie devient de plus en plus nécessaire à mesure que l’agglomération augmente, attendu qu’elle est réclamée par un grand nombre d’habitants, attendu que les ressources de la commune ne permettent point d’en faire les frais en ce moment.
Décide de mettre à même les personnes qui jugent cette pompe indispensable de se mettre à la tête d’une souscription et charge le Docteur DAYOT d’en prendre l’initiative sous le couvert et l’approbation de la municipalité.

La souscription rapporta 1.212 francs.
Pour consulter le document de 26 pages de Christian Frémont  cliquez sur historique depuis 1897

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