Aux 2, 4, 8, 10 rue des Hôpitaux

Au 2 rue des Hôpitaux.

Actuellement maison d’habitation.

Au début du siècle, et jusqu’à la mise en service du train départemental en 1922, c’est là qu’arrivait la patache à deux chevaux de M. Garnier en provenance de la gare de Lamballe. (Voir notre article dans le bulletin n°1 page 18).

M. Garnier était aussi marchand de bois et charbon. Son nom figure à plusieurs reprises dans les registres du Conseil Municipal : en août 1906 pour accorder à son fils Alexandre une dispense (de service militaire ?) de treize jours considérant qu’il est à la tête d’une entreprise de voitures et que le travail pour lui est en ce moment très pressant à cause des baigneurs, a reçu un avis favorable. Et en 1914, pour le prier de dresser la terre qu’il a déposé sur la route de la côte Notre-Dame, l’étendre de façon a rendre cette voie plus praticable de même que sur la route des Hôpitaux, il devra enlever le fumier.

Dans les années 1960 : Auto-École, tenue par M. Pennec.

Par la suite (en quelle année ?), André Collet, plombier, a ouvert un magasin d’électroménager avant de s’installer rue Notre Dame

Au 4 rue des Hôpitaux.

Actuellement Maison d’habitation.

Jusque les années 1950, Marie Renault était repasseuse ; sa spécialité était les robes de communion en organdi qu’elle empesait et repassait.

Au 8 rue des Hôpitaux

Actuellement maison d’habitation

Blanchisserie-pressing, tenue par Mme Briend.

Au 10, rue des Hôpitaux.

Actuellement boulangerie fermée.

Avant 1914 : Boulangerie BRIEND.

Aimé Briend (7 mai 1872- 21 décembre1941), dont le père était meunier a d’abord tenu là une boulangerie. Mais, il a dû cesser cette activité pour raison de santé du fait de l’incompatibilité avec la farine et ses poussières ; et se reconvertir dans le négoce de pommes de terre – qu’il expédiait par bateau depuis Erquy, Le Légué et Port-Nieux.

De 1914 à environ 1950 : Boulangerie Le Monnier.

Pub 1914

Le Monnier, boulangers – père et fils… La famille se composait de quatre enfants : André, Madeleine (Tillon), Marie (Douriez) et Marcel.

Le fils André a été déporté suite à une dénonciation en 1943. Il est rentré en 1945 : une petite fille est née, prénommée France- Aimée-Victoire-Désirée. André et Augusta avaient déjà deux fils, André et René.

France dans les bras de sa mère Augusta

Boulangerie Prigent :

pub 1960

Ensuite se sont succédé :

Daguet : 1992-2002

MIlliner : 2002 2005

Ty Bara, Calvez : 2005 2022

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