Aux 2, 4 et 6 Rue Notre-Dame

AU 2 RUE NOTRE-DAME

actuellement immeuble d’habitation.

                                   

Hôtel des Voyageurs

voir l’article dans notre bulletin n°2, p. 49.

Publicité, 1916
Publicité, 1930
Terrasse de l’Hôtel des Voyageurs

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Au 4 rue Notre Dame

Actuellement l’Eden Bar-Hôtel-Restaurant

Vers 1900, c’était un café et une menuiserie tenus par les parents de Léon Rouxel, qui a tenu l’épicerie au 3 rue Notre Dame

 A partir de 1940 : L’Arrivée

Marie Poilvé a tenu le café pendant la guerre. LesAllemands fréquentaient l’établissement et Marie en avait très peur. Ses enfants, Marie-Claude et Jojo, sont nés rue Notre-Dame ; ensuite ils ont habité rue de l’Horizon Bleu.

En 1960, le café est devenu café-épicerie quand Léon Rouxel a cessé son activité, puis restaurant, puis hôtel-restaurant. L’activité a été reprise par Jeanne et Yves Carfantan.

Jeanne Carfantan recevait avec provision, et il était possible d’acheter du cidre au litre tiré au cul du fût. Sur une feuille de papier accrochée par une punaise il fallait faire un bâton à chaque litre tiré.

Yves et sa fille Jeanne Yvonne

Au-dessus du café, des chambres étaient louées avec possibilité de faire la cuisine.

1961: Christine, une fidèle locataire avec ses deux enfants.
1963 : Jeanne et Yves derrière leur bar.
Devant celui-ci Didier Urban et Jeanne-Yvonne, leur fille.

L’Arrivée a changé de nom pour devenir successivement le Boucanier, chez Juliette, la bolée, et a été tenu par MM et Mmes Pelan, Guillossou, Zamoulo, Juliette.

Puis, l’établissement est devenu L’Éden, tenu par Laurence Buan. Le restaurant ouvrier était très apprécié.

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AU 6 RUE NOTRE DAME

Magasin fermé

Dans les années 1950   Mme Luzé et sa fille Madeleine tissaient des tricots à la demande.

M et Mme Terrier ont pris la suite.

Ils faisaient les marchés pour vendre leurs créations et d’autres vêtements chauds – caleçons, chaussettes etc… ainsi que des vêtements de travail. Ils possédaient une impressionnante machine à tricoter avec laquelle ils faisaient des rouleaux de jersey qu’ils découpaient à l’aide de patrons  pour faire les vêtements.

M. Terrier était guérisseur. Beaucoup de Rhoéginéens sont passés entre ses mains afin de faire disparaître leurs verrues.

Mme Terrier sur le pas de son atelier

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