AU 3, 3 bis, 5 et 7 square de l’Hôtel de ville

(SUITE des MAISONS de SAINT CYR)

                       

3 & 3bis square de l’Hôtel de Ville

(actuellement Agence Cabaret et atelier désaffecté)

De 1945 jusqu’au début des années 50 (date d’installation rue Foch), la famille Poissonneau tenait au 3 et 3 bis :

Poissonneau-cycles-motos-armes-munitions-vente-réparations-pêche.

M Poissonneau réparait les vélos. C’était l’époque où les pneus et les chambres à air étaient rares. Il fallait coller des rustines après avoir repéré le trou en plongeant la chambre à air gonflée dans une bassine remplie d’eau et ainsi l’air sortait par le trou. Souvent il fallait mettre deux pneus usagés l’un par-dessus l’autre pour éviter de crever la chambre à air sur les cailloux ou autres objets pointus. Ainsi harnaché, les cotes étaient dures à monter. Il fallait en avoir sous la pédale. (Plus les pneus étaient épais et lourds, moins c’était facile de rouler).

Les vélos étaient munis de carter sur le pédalier pour éviter de graisser avec la chaine les pantalons et les mollets. Les garde boue étaient munis de filets pour éviter aux robes de se prendre dans les rayons.

Les propriétaires de vélos devaient s’acquitter d’une redevance qui donnait droit à une plaque nominative et qui devait être accrochée à la potence du guidon.

Il y avait peu de voitures, les balades du dimanche se faisaient à vélo. Si un jeune homme allait au bal pour épater sa belle, il ne pouvait pas lui dire qu’il avait une Mercédès s’il avait oublié d’enlever ses pinces à vélo.

Joel, le fils
Camélia et Joël, départ pour la pêche
Camélia et Joel, départ pour la pêche
M et Mme Poissonneau et des ami
Tandem très mode pour les premiers congés payés.

Félix PANSART (réparations et ventes de vélos): Coureur cycliste bien connu.

Vers les années 1955 /1960, A. Le TAILLENDIER (reprend le magasin).

Les vélos étaient remplacés par les solex et les mobylettes. Les dames d’un certain âge en faisaient l’acquisition. Elles n’étaient pas toujours prudentes.

Jeanine se souvient : Reine, notre voisine tournait à la Ville Ory sans s’occuper de la circulation. Mon père lui dit : « mets ton bras pour prévenir que tu tournes. » Réponse de Reine: « depuis le temps que j’habite là ils savent bien que je vais tourner ».

Ensuite :

BRETAGNE MARINE, Vêtements pour pêche et sports de mer (la publicité est toujours sur le mur).

AU 5 square de l’hôtel de ville

(actuellement Blaise ameublement)

Vers 1950 : M. Biheux : électricité, mécanique, électro ménagervente et réparation

1970  /1977  Roger Gortais :Télévision-Radio, vente et dépannage, appareils ménagers, électricicté générale.

Journal 1973

Se sont succédé:

Studio photo : M. Levesque

DRAO Studio photo 

Julien Perrot

2007-2010  Magasin des Trois Pierres, Épicerie fine-cadeaux-souvenirs produits régionaux             

AU 7 square de l’hôtel de ville

(actuellement maison d’habitation)

En 1953 : Galeries Ménagères

C’est à cette date que M. Briend a construit son magasin pour agrandir sa surface de vente. Il a voulu garder sa forge dans la cour avec une entrée directe sur la rue à gauche de la maison.

Il faisait des dragues pour ramasser les praires. Pour la fabrication des dragues, les pêcheurs donnaient leurs instructions. Les bricoles se payaient en poissons ou crustacés..

En 1965 à 1981 : GALERIES MENAGERES.

M. Sidenier C. (beau-père de M. Morgand) a repris la forge. Il tenait également avec son épouse, les Galeries ménagères. 

Depuis avril 2000 : LE MARTIN PECHÊCHEUR, tenu par Bruno Le Bail et Isabelle Augagneur


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