C’est lors d’une séance du conseil municipal le 23 juin 1949 que tout a commencé… Le Docteur VELLY, Adjoint au Maire, pose le principe de la création d’une classe mixte de cours complémentaire à ERQUY. Il précisait : « Cette création permettrait aux parents ne pouvant envoyer leurs enfants dans les lycées et les collèges de leur faire donner néanmoins un certain degré d’instruction ». Et les choses n’allaient pas traîner…
Le 23.10.1949 Après exposé du Docteur VELLY, l’assemblée décide d’inscrire au budget primitif de 1950, une somme de 150 000 F en vue de l’ouverture éventuelle d’un cours complémentaire à ERQUY. Et l’éventualité se transforma en certitude… La décision officielle de la création d’un cours complémentaire à ERQUY est prise le 18 novembre 1950 et pour concrétiser cette décision, le conseil prévoit même la construction de l’école sur l’emplacement de l’ancienne gare à Balino. L’on sait que ce premier plan fut remplacé par l’acquisition de la propriété Du FRETAY en 1952 et le 15 mars 1953, le conseil municipal approuve la construction du groupe scolaire sur ce terrain et confie l’étude de sa construction à M. LEGEAY, architecte aux Sables d’Or.
Mais revenons à cette année 1950 et plus précisément à la rentrée scolaire du 2 octobre… Un matin exceptionnel après de nombreuses années passées à l’école primaire : une entrée en 6ème, une PREMIERE dans l’histoire d’ERQUY. Les élèves… Pardon, les ETUDIANTS arrivent de toute part, d’écoles publiques et privées, du Centre bourg, bien sûr, mais aussi des villages de Tu Es Roc, des Hôpitaux, de la Couture et aussi de Pléneuf et encore de Plurien, Pléhérel, de La Bouillie… Piétons, cyclistes se saluent en se donnant le tour : « Impasse du Paradis » pour entrer une première fois dans la cour de ce qu’on appelle « le cours complémentaire ».
Autre surprise, c’est le regroupement dans une même classe des filles et des garçons. Mais attention ! Les petites tables de deux places étaient occupées soit par deux filles soit par deux garçons. Pas de mélange « des genres » non plus à la récré. Une cour pour les filles, une cour pour les garçons. C’est seulement le soir sur le chemin du retour que l’on pouvait vraiment se rapprocher… et se laisser conduire par de compréhensibles affinités.
Enfin, il faut souligner que cette création d’un cycle secondaire était une opportunité pour les élèves en préparation du traditionnel certificat d’études. Cette soudaine bifurcation regroupait ainsi des élèves qui avaient entre 11 et 14 ans.
La première classe du cours complémentaire – année scolaire 1950 – 1951
De haut en bas et de gauche à droite
- Louis BALAN, Roger LEMOINE, Jean-Yves CROISSANT, Marc OLÉRON, Jean-Paul NICOL, Pierre HUCHET, Joseph ALLAIN, Aimé ALLAIN, Paul DIVEU, Joseph LUCAS, Francisque DÉGUEN, Joseph DÉGUEN.
- Solange BLANCHET, Joëlle LE DOLÉDEC, Arlette RAULT, Monique EVEILLARD, Colette BESLAY, Colette CORNILLET, Jeannine L’HOTELLIER, Gilberte TREVILY, Josette POILPRÉ, Jacqueline GOUÉLY, Josiane DAGORNE, Jocelyne PELAN.
- Emile LEMONNIER, Jean CORNILLET, Bernard HAMON, Françoise BRIEND, Yvette LEJART, Anne Yvonne HERVÉ, Annick YVON, Elise GUÉGUEN, Bertrand GUYOMARD, Gérard HINGANT, Michel LÉPINE.
- Jean-Claude BROUARD, Gérard ROUMIEUX.
Debout, le directeur et notre professeur : Jacques LE MAGOUROUX.
Nous passerons 4 années dans cette même salle. Ce sont les profs qui feront la démarche pour donner leurs cours. La première année : un seul enseignant pour toutes les matières et notre directeur : Jacques LE MAGOUROUX, mais sa grande préférence : les MATHS ! L’emploi du temps donné en début d’année indiquait le samedi après-midi ; étude surveillée. Et le surveillant c’était notre directeur et bien sûr, c’était …. MATHS pour tout le monde. Dans le prolongement de cette « première », chaque année il y aura création d’une nouvelle classe pour arriver à un cycle complet (6ème à 3ème). Ainsi de nouveaux professeurs viendront compléter l’équipe enseignante : Julien TRÉGARO, Paul ROUXEL, Mme LABBÉ et tous les autres !
Un souvenir parmi les autres :
Mme LABBÉ qui nous enseignait l’anglais, avait réussi à faire installer dans la classe un récepteur révolutionnaire à l’époque :… un TELEVISEUR ! Et pour quel événement : le couronnement de la reine Elizabeth II. C’était le mardi 2 juin 1953. Et c’était en mondovision !
Un autre souvenir
La restauration du midi : simple mais suffisante, équilibrée sûrement, bio… certainement. Michel se souvient : « J’aimais bien la cantine du vendredi. On faisait maigre. C’était riz pour tout le monde. Chacun piochait sa part dans un faitout unique, circulant dans un incessant va et vient entre les convives. Et puis il y avait pour compléter ce mets de choix : la confiture, elle aussi à volonté proposée dans un énorme pot en fer blanc de 10 kg. »
La suite de cette première année…
Le mieux, c’est de laisser la parole à Julien TREGARO qui sera le successeur de Jacques MAGOUROUX et qui fut aussi l’un de nos professeurs de 5ème jusqu’à la 3ème. Il fait l’historique de ce qui est devenu le Collège d’Enseignement Général mixte , dans le bulletin municipal de 1969. « Sa création remonte à l’année 1950, date à laquelle une sixième fut ouverte à la rentrée d’octobre, classe qui s’ajouta aux trois classes primaires de l’école publique des garçons. Début des plus modestes, le groupe scolaire comprenait deux classes en dur datant de 1860 et des baraques assez inconfortables, vestiges de l’occupation. Une, puis plusieurs classes fonctionnèrent ainsi de nombreuses années au parc des sports municipal. Mais l’essentiel était d’entreprendre. C’était ce qu’avait compris la municipalité d’abord présidée par le regretté Amédée GUÉGAN, ancien instituteur. Il tenait à offrir aux enfants d’ERQUY et des communes voisines appartenant à des familles modestes, le complément d’instruction nécessaire dans notre monde moderne.
Toutefois ce cours complémentaire ne pouvait se développer et prospérer dans des conditions matérielles aussi précaires ; aussi, la municipalité conçut-elle un projet de construction qu’à l’époque certains qualifiaient d’ambitieux. Au centre de la ville un vaste terrain appartenant à la baronne Du FRETAY fut acquis pour l’implantation du bâtiment projeté. Il appartenait à la première municipalité présidée par M. CORNU de réaliser cette construction. Le bâtiment comprend trois niveaux. Au rez de chaussée, trois classes et une cuisine réfectoire, au premier étage, quatre classes, au second, un dortoir de quarante cinq lits et l’appartement du Directeur. Maîtres et élèves prirent possession des locaux à la rentrée de 1956. Très vite, en raison de « l’explosion scolaire » et de la faveur dont jouissait parmi la population le C.C. devenu C.E.G., ces locaux s’avérèrent insuffisants. Il fallut utiliser au mieux, les bâtiments vétustes vendus avec le terrain, comme dortoirs et bureau et construire des classes en préfabriqué : deux en 1961, deux en 1963.
Dirigé depuis sa création en 1950 jusqu’en 1961 par M. LE MAGOUROUX, puis par M. TREGARO, le CEG vit ses effectifs augmenter régulièrement pour se stabiliser autour de 200 élèves, internes, externes et demi-pensionnaires. Malgré l’ouverture de deux CEG voisins, l’un à PLENEUF, l’autre à MATIGNON, le nombre des élèves est resté sensiblement le même depuis une dizaine d’années. Aujourd’hui (rappelons que ce texte date de 1969) le sort du CEG d’ERQUY est incertain. Il est menacé d’asphyxie entre PLENEUF où doit être établi un CES et MATIGNON. Il est pourtant l’établissement le plus ancien de la région. Les sacrifices financiers consentis par la commune, les succès scolaires remportés par l’établissement (300 C.E.P., 200 B.E.P.C., etc…) au cours de ces dernières années plaident en faveur du CEG d’ERQUY avec les transformations pédagogiques et matérielles qui s’imposent.
D’ailleurs l’établissement continue à se développer. Une 6ème de transition va être ouverte à la rentrée de 1969, portant ainsi à 3 les classes de 6ème avec un effectif de 80 à 90 élèves et nécessitant la construction d’une nouvelle salle. Le nombre d’élèves prévus au CEG pour septembre prochain s’établit entre 220 et 230. On peut donc être optimiste sur l’avenir immédiat du CEG. Dans une perspective plus lointaine, on peut songer à sa transformation en CES à vocation climatique avec un large recrutement débordant la région, solution qui satisferait sur le plan scolaire les parents d’élèves, sur le plan humain, les professeurs qui se sont fixés à ERQUY et sur un plan matériel, on peut penser que le tourisme local aurait tout à y gagner. Il va sans dire, que ce but ne pourra être atteint que si tous les intéressés s’y emploient et agissent auprès des autorités compétentes. »
Les élèves du CEG s’en souviennent. Ils étaient leurs professeurs pour l’année scolaire 1968/1969 : Directeur : M. TREGARO Julien. Professeurs : M. BATTAIS (lettres, histoire, géographie); Mr COSSON (lettres, histoire, géographie); M. HELLARD (lettres, musique); M. MACE (éducation physique); M. PRIGENT (Mathématiques); M. TREGARO Jacques (lettres, anglais); Mme HELLARD (sciences physiques et naturelles); Mme MORICE (lettres, anglais); Mlle LE THENO (mathématiques, sciences); Mlle PELLERIN (lettres, éducation physique); Instructeur : M. LE BOUEDEC.
On en parle encore…
Un événement qui a marqué le CEG. C’était au cours de l’année 1957, en activité extra scolaire. Mme LABBÉ eut l’idée de créer le groupe Tarass Boulba et la chorographie adaptée d’un ballet russe. Marie-Yvonne en faisait partie. Elle témoigne : « les filles ont eu le plaisir d’appliquer à l’aiguille, sur des tenues identiques, des fleurs très colorées. L’apprentissage des danses fut intensif, méthodique et dans un enthousiasme total aidé par le rythme dynamique de la musique russe et les encouragements de notre professeur à qui nous ne pouvions rien refuser tant nous lui portions d’estime. Le succès nous a conduit à nous produire dans plusieurs départements : le théâtre de verdure dans la vallée de Diane aux Sables d’Or, au casino du Val André… Le « clou » du spectacle étant le saut en grand écart des garçons par dessus les filles inclinées. »
Regardez ces photos. Ce sont les acteurs de ce groupe avec toute leur jeunesse, leur enthousiasme pour porter haut les couleurs de leur collège.
Debout : Yveline TOUBLANC, Jean-Pierre ALLAIN, Josette BONDARINE, Michel HERVE, Marie-Yvonne LE THUAUT, Jeannine BERNARD, Geneviève TANGUY, Françoise COURQUET, Thérèse LABBÉ, Guy BRIEND, Geneviève BERTIN, XXX
De gauche à droite : Josette BONDARINE, Marie-Yvonne LE THUAUT, Geneviève TANGUY, Geneviève BERTIN, Yveline TOUBLANC, Thérèse LABBÉ, Françoise COURQUET
En 1969, M. TREGARO prend sa retraite. Il est remplacé par Mr MESTON, directeur jusqu’en 1987. Ce fut une période encore riche en événements. Sur le site du FRÉTAY, cohabitait le CEG et l’école primaire des garçons, et c’est M. MESTON qui assurait la direction de l’ensemble. Face à l’augmentation de la demande d’entrées au CEG, il fut décidé d’acquérir une nouvelle classe préfabriquée portant le nombre à 5.
A la rentrée 1971, le CEG compte 260 élèves. L’établissement comporte 10 classes :3 sixièmes, 3 cinquièmes, 2 quatrièmes, 2 troisièmes.
Parallèlement, l’internat et la demi-pension accueillaient à cette même date 210 rationnaires et tout cet ensemble géré par le directeur : M. MESTON. Il assurait bien sûr l’organisation de l’enseignement du CEG mais aussi la restauration, l’internat des filles et des garçons, l’école primaire des garçons.
Toute une équipe : direction, enseignants, personnel, parents d’élèves pour répondre à un projet éducatif essentiel pour préparer l’avenir de chacun et de tous. Pour M. MESTON qui assurait à cette période des cours de mathématiques et de sciences, ainsi que Mme MESTON, les mêmes matières, ils devaient ensemble être toujours présents et vigilants pour apporter la bonne réponse de multiples tâches et tous les questionnements. C’était par exemple établir les menus, acheter les victuailles, prendre en charge les livraisons, gérer la facturation, la trésorerie… C’était aussi choisir le bon matériel de cuisine : plutôt une rôtissoire, matériel plus polyvalent qu’une friteuse ! C’était le jour mais encore la nuit, l’appel et l’assistance du médecin pour soigner les bobos !
Puis progressivement, les choses se clarifient. La primaire des garçons quitte les lieux pour se réorganiser en classe « mixte » filles et garçons dans les salles disponibles à proximité de l’ancienne mairie sous la conduite de Mme FUSTEC. Ce sera aussi la fin de l’internat vers 1972 avec la mise en place des transports scolaires mis à la disposition des élèves résidents à Erquy, Plurien, Pléhérel, Plévenon, La Bouillie.
Le CEG connaîtra son « pic » de fréquentation en 1986 avec 14 classes : quatre sixièmes dont deux de transition, quatre cinquièmes dont deux de transition, trois quatrièmes, trois troisièmes – avec un total de 330 élèves. Un record ! et une rentrée mémorable en 6ème avec plus de cent élèves.
Une anecdote : Avec un tel nombre d’élèves, il fallait des moyens… Cette année, 2 postes supplémentaires s’avéraient nécessaires. Face aux réticences du Rectorat, une délégation de parents d’élèves conduite par M. MESTON se présenta au siège à Rennes. Le groupe était déterminé et les arguments solides. Le résultat de l’entrevue ? Deux postes supplémentaires accordés !
Et toujours des initiatives pour mieux préparer tous ces élèves, à leur projet personnel et professionnel. Ainsi il organisera avec ses collègues professeurs des échanges linguistiques et culturels avec l’Angleterre dans le comté d’ESSEX sous la conduite du principal du collège d’Ingateston, M. Norman PITT. Des séjours passés dans des familles d’accueil, l’opportunité pour mieux maîtriser la langue mais aussi pour découvrir un autre monde, un autre mode de vie et nouer des relations personnelles qui s’inscriront dans la durée. M. MESTON souligne l’implication de tous les professeurs d’anglais : Mme Michèle GRASCOEUR, Mme Christiane MORICE, Mr Jacques TREGARO. Une initiative qui se propagera dans de nombreux collèges des Côtes du Nord et ceux du comté d’ESSEX.
M. MESTON tient à souligner l’engagement de ses collègues, leur implication, la solidarité de toute une équipe qui a fait que l’établissement est passé de Cours Complémentaire à Collège d’Enseignement Général et enfin Collège après certification. M. MESTON sera par promotion nommé Principal.
En juin 1987, mission accomplie pour M. et Mme MESTON. C’est M. FERNANDES qui, à son tour, prendra la direction du CEG qui prendra en 1989 le nom de Thalassa (la mer en grec). Ce nom sera symbolisé pendant plusieurs années par un chalutier surplombant la cour, évoquant l’environnement et les activités de la commune d’ERQUY.
Pour clore ce bref historique du collège, nous proposons une photo regroupant tous les élèves dans les années 1997/1998.
Le nombre : difficile de compter. Les visages : parfois difficiles à identifier. Vous reconnaissez vous ? Etes-vous dans cette liste ? Merci de nous aider à la compléter et de nous signaler les possibles erreurs.
1er rang de gauche à droite : Mathieu RENAULT, Thierry REYDINGER, ?, Benoît BOULIN, ?, ? , ?, ?, Jessica DURAND, Magalie HAMON, Cécile GUYOMARD, Justine LEFOLLEZOU, Alexandre VIMONT, Gwénaëlle PELLAN, ?, Samuel EVELLIN, Christophe VERNEY, Antony…, ?, Maxime LEMAITRE. ?, ?.
2ème rang de gauche à droite : Stéphanie RAULT, ?, Julien CHOLET, Fabien LABBE, ? Cécile MICHEL, ?, ?, ?, ?, Aurore JEHAN, ?, Marion et Justine LEDROGOFF, Virginie ERHEL, ?, Vaïmité CARPENTIER, ?, ?, Renaud HELEUT, Julien VERNAY, Samy ETIENNE, ?, Eliot…..
3ème rang de gauche à droite : Alexandre DURIEUX, ?, Guillaume BOULIN, Mickaël RAULT, ?, Lucie LEMARCHAND, ?,Estelle DUBOIS, Lucie………………., Julie LODOU, Gwénola……………., Camille………….., Caroline LENORMAND, Roselyne LEFEBVRE, Sandra BIDON, Cécile DUBOSC, Virginie BOIVIN, Valérie BOURGES, Charlotte…………, Elodie………, ?, ?, David CHARLOT, Cédric BAUDET, Pierre-Marie MARTIN, Dominique CHANTOISEL
4ème rang de gauche à droite : Charlotte JAMET, ?, Gaëlle CARCAILLET, ?, Giulia PANZINI, ?, Marie RENAUT, ?, Christophe BRIANTAIS, Florian DURAND, Gildas BERTRAND, ……… FOLIGNE, Cindy LEMASSON, ?, …………….. BILLAN ?, Tristan ELINGUEL, Jérôme GICQUEL, Adeline ROLLIER, Frédéric HOURDIN, Ifid BROUARD, ?, ?, Priscilla LENOIR, Soizic TERMET .
5ème rang de gauche à droite :
?, ?, ?, ?, ?, Valentin LETACONNOUX, ?,Gabrielle LABBE, Emeric EDOUARD, Nancy MAURER, Florence BARBU, ?, ?, Tiphaine DEMOY, ?, Marie…………………., ?, ?, Pierrick BALAN, ?, ?, Justine HAMON, ?, ? , ?, ?, ?, Elodie BARROT, ?, Germain DURIEUX, ?, ?, Fabien PERRIN.
6ème rang de gauche à droite ?, ?, Fabien BARBOT, Benjamin RENAULT, Anthony SAUNIER, Anne-Claire LEFEBVRE, Marie LE MOAL, Amandine LECOUFFLARD, ?, ?, ?, David GUYOMARD, ?, ?, ?, Sylvain GRALL, ?Florian PERROQUIN, ?, Xavier BALAN, Julien TREHOREL, Léna LEROUX, Rachelle GUEGAN, ?, ? ?, ?, Florian ESNAULT, ?.
Sur le bateau de gauche à droite :
Paul GUILLOT, Alexis TOMBETTE, ……….BILLAN, ?, Noël BROUARD, ?, ?, Elodie……………, ?, ?, ?,Julie BEAUDOUIN, ……… PERRIN, ?, Pauline LEFEBVRE.
Sur la passerelle :
Caroline ESNAULT, Céline……………….., Audrey…………………., Thomas URBAN, Vaïtea CARPENTIER.
D’autres photos mais de classes seront progressivement diffusées.
Contributeur: Jean Cornillet (avec l’aide de Madeleine Barbu)
Chouette cette photo de la première classe.du collège. Je découvre mon père, le 2e en haut en partant de la droite, mais son prénom est Francisque et non pas Francis.
Merci beaucoup à toutes les personnes qui oeuvrent à faire recherches et transmettent leurs trouvailles.
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Merci de la rectification; ça y est, c’est corrigé.
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c’est très émouvant, j’ai reconnu naturellement ma soeur Joëlle Ledollédec à qui je vais m’empresser de lui envoyer ce document et d’autres élèves que je connaissais très bien ces personnes ont 80 ans et plus aujourd’hui c’est à peine croyable, en tout cas bravo pour cet article,.
jtardi
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